6 août 2015
Une ville sans elle
J’ai aimé Caen ma fille parce que tu l’as aimé. J’aimais cette ville au travers de ton regard. Nous y avons acheté cet appartement par un beau jour d’été en se disant que peut-être si un jour tu en a besoin il sera pour toi, dans cette ville que tu aimais.
Aujourd’hui tu as quitté la Normandie poussé par ton travail. La Normandie est devenue triste et Caen sans vie. Nous vendons l’appartement.
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